mardi 8 novembre 2011

Bis repetita placent...

« Merde, j’ai déjà vécu cette scène… »

On reprend donc les mêmes ingrédients que lundi dernier :

-un spot noir de perches non coopératives.
-un temps à se demander ce qu’on fout là plutôt que sur le canap’.
-David.
-zéro touche.
-une démotiv’ qui prend le dessus et qui nous pousse à voter pour le spot de repli et à nous rapprocher de la misalo…

« Ah, poisson ! C’est gros… euh, c’est vraiment gros… bah c’est pas une perche, ça doit être un truc grappiné… »

Ben non, c’est ni grappiné, ni un truc qui bave. 51cm, obèse, avec des couleurs superbes.



Nous avions fait attendre David 45 minutes seul dans sa bagnole à cause d’une classique panne de réveil, et nous l’avions emmené là, avec la promesse de quelques perches correctes. Ce poisson nous a donc apporté un grand bol d’air avec la miss… on lui a pas totalement pourri sa matinée...



A+


Matt

samedi 5 novembre 2011

Achetez Prédators !

Non je déconne…




Si Descartes avait son réfutateur en la personne de Monsieur Arnaud, j’ai quant à moi Sylvain Legendre – c’ est ma très grande faute : je n’avais qu’à bosser à l’école !
C’est ainsi que commence un papier de Numa Marengo dans le dernier numéro de notre mag préféré…
Vous vous rendez compte ? Sérieusement ? Je suis peut-être le seul à avoir relevé ce point, mais j’ai rarement vu dans un mag, et encore moins dans un mag de pêche une phrase aussi gerbante que celle là. Par bonheur, deux pages arrachées dans mon Petit Robert (ouais, j’ai pas une connaissance de la langue française suffisante à la compréhension de mots comme dichotomie, caryatides ou diptyque) m’ont aidé à nettoyer tout ça.


Dichotomie, caryatides ou diptyque, donc. Dans un mag de pêche. Je trouve ça ahurissant. Et le pire, c’est que c’est simplement pour justifier le rejet parfois effectué par les pionniers du plastique en France vis-à-vis du PP, et expliquer le fossé (ouais, c’est plus simple et plus compréhensible que scission/césure) entre pros et antis ou entre fondateurs (lol) et usagers (re-lol). Ces derniers termes me font penser au feu Fion Crew, l’humour en moins. L’intérêt de tout ça ? Euh…


L’image que ce torchon donne de la nouvelle génération est à pleurer. On parle de césures et on le déplore ? Mais putain, Prédators ne fait qu’entretenir ça. Faut arrêter de croire qu’un magazine comme celui là fait avancer quoi que ce soit. En réalité, il ralentit les choses en braquant une immense majorité des protagonistes de la pêche en France, et en entretenant un côté élitiste à la con là où la simplicité (un Legendre qui explique à Minardi comment il pêche le pike au shad, c’est simple et efficace en terme de com’) serait réellement bienvenue…


Une fois de plus, la pêche va droit dans le mur, et les premiers à s’en plaindre sont également les premiers à appuyer sur l’accélérateur. Je retourne gerber un coup…

A+
Matt




PS : Merci à Benjamin pour les scans... au cas où on me soupçonnerait d'avoir gaspillé 5 euros, je vais peut-être vous décevoir... mais non.

jeudi 3 novembre 2011

Par ci, par là...


Depuis le retour d'Irlande, ça merdoie un peu.

On essaie de prendre quelques pikes, on en a marre, et comme on a que les cannes casting, on va au bass... on se régale quoi...

Les touches sont quand même parfois au rendez-vous, que ce soit avec David et Thierry, avec Eric, ou simplement avec la miss...

Cette dernière s'attache à défoncer de la saucisse. Même les pikes de 50 lui font plaisir, c'est atroce :


C'est parfois un peu plus valable...



Et Eric participe...


J'arrive aussi à en arracher un... sans flash... c'est beau :


Sur le bateau de David, on rigole bien : une touche de 7h30 à midi... mais ça valait le coup de faire les besogneux... surtout pour celui qui a la touche en fait :


50 toupil' !

Avec Thierry, on se contentera de prendre quelques mégots et un barbal au moment de partir.






Un coup du soir sur le canal en mode bourrin à la lame (une journée sans touche, ça permet pas vraiment d'avoir la zenitude nécessaire pour gratter avec 1g). Tant mieux, ça fonctionne. C'est pas gros, mais ça fonctionne. Une perche, un truc qui bave par les bretelles, et quatre serpis (faiblement) maillées...







Enfin, du bass. Un poisson de 46 tout cubique pour la miss qui constitue son nouveau record. Ouais, on y va vraiment pas souvent hein...



Et 3cm dans la gueule du mien en prenant le pote à Bruno : 54cm.



Voilà, comme je le disais, on se régale...

A+
Matt